Replay. Empreinte écologique : le rôle des organismes de formation

En autonomie, il a en premier lieu réalisé le bilan carbone de son entreprise avant de se lancer dans les labellisations BCorp et Lucie.

« Les défis qui nous sont posés aujourd’hui sont nombreux et nous permettent de mettre plus de sens dans nos actions. Avec Voyelle, notre mission est d’explorer les nouvelles façons de travailler pour inventer avec le digital un monde plus coopératif, plus durable où chacun peut se réaliser. »

Il témoigne des actions mises en œuvre à Voyelle et du chemin qui reste à parcourir. Quelques exemples :

• Bring your own device : diminution du parc informatique en incitant les apprenants à utiliser leur propre matériel.
• 3 vies pour les ordinateurs : pour l’agence-conseil puis pour l’activité formation puis dons ou vente.
• Mobilité durable : limiter les déplacements des salariés et des stagiaires et faciliter les mobilités douces.
• Bio diversité : partenariat avec Ecotree pour contribuer à la préservation des écosystèmes. Ecotree accompagne les entreprises dans le développement de leur politique RSE. La société propose notamment la plantation d’arbres, l’entretien des forêts et l’accroissement de la biodiversité.

Delphine Lopez, administratrice de Formethic, présente les initiatives d’organismes qu’elle a pu accompagner.

Pour déterminer des objectifs prioritaires, voici les conseils qu’elle livre :

• Réaliser un diagnostic de démarrage afin de définir des indicateurs et des leviers sur lesquels agir. Le bilan carbone peut être réalisé pour mesurer les grandes masses sur lesquelles porter ses efforts.
• Prendre en compte les parties prenantes de l’organisme de formation pour identifier des enjeux qui répondent aux besoins de ces catégories et établir sa matrice de matérialité : les employés, les apprenants, la gouvernance, les partenaires et l’environnement. Cette démarche est un facteur d’attractivité pour les salariés aujourd’hui.